
LESSENSDEMAVIE
Depuis toujours, j’aime cette idée de concevoir la vie avec nos cinq façons de ressentir les choses.
Ces cinq sens, nous ne les avons pas choisis, ils s’offrent à nous depuis la nuit des temps, mais chacun les utilise différemment, avec sa propre essence, entité et sensibilité.
C’est cette perception singulière de la vie, qui fait de nous des personnes uniques et finalement inimitables.
Ces cinq sens, c’est aussi notre façon à tous, de se comprendre et de toucher ensemble cette spiritualité qui en découle, de manière universelle.
On m’appelle Bénie, grande petite-femme de 24 ans, créative et ouverte à toutes sortes de cultures.
J’ai pour intérêt l’esthétisme sous toutes ses formes artistiques : le cinéma, les arts plastiques, l’image photographique, la musique, la littérature, la gastronomie, l’amour de la vie…
C’est par le biais de mes sens que je vous parlerai de ces sujets. Mon souhait est qu’à travers nos écrans, nous échangions nos sentiments sur ces différentes créations qui par leur beauté et leur caractère propre deviennent des œuvres d’art.
Lessensdemavie sera tel un carnet de route de mes ressentis, face aux images, sons, odeurs, saveurs, textures que je croiserai en chemin.
vendredi 6 janvier 2012
Génération Electro 2000 VS Génération Pop Rock 70’s
Tricotin, Restaurant Paris 13ème

La couleur des sentiments, de Tate Taylor
Rien ne s'oppose à la nuit, de Delphine de Vigan
Polisse, de Maïwenn

Je lui trouve un côté légèrement mégalo et surtout inutile ici dans le contexte de ce film.
Intouchables, d'Eric Tolédano et Olivier Nakache

L’union d’un bon duo est souvent un super cocktail pour accomplir un chef d’œuvre. On a pu rencontrer ce phénomène avec les binômes Bourvil/de Funés dans "La grande vadrouille" (17 millions de téléspectateurs), Clavier/Reno dans "Les Visiteurs" (13 millions ), Villeret/L’Hermitte dans "Le diner de cons" ( 10 millions) ou encore Dany Boon/ Kad Merad dans "Bienvenue chez les Ch’tis" (20 millions ).
Ces films caracolent au top 5 du box office français.
La cause d'Intouchables est bonne et noble, le sujet est sérieux et casse gueule; l’humour aurait pu en ressortir grinçant et désinvolte, pourtant Intouchables est un déluge d’impertinence, une ode à l’optimisme et à la tolérance.
Pour ma part, dans un monde où le cinéma est dominé par le sexe, la propagande et les effets spéciaux, Intouchables est une réelle éclaircie qui ne se goute avec modération.
The Lady, de Luc Besson
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Aung SUU Kvi et son mari |